L’allaitement artificiel

Petite aparté Miss France, personne n’a gagné les fraises tagada cette année, elles vont donc aller sur mes cuisses, je ne vous remercie pas !


 

Que c’est moche, ce mot « artificiel »… Je préfère dire au biberon ou au sein car dans les 2 cas c’est de l’allaitement maternel, voir paternel et familial pour le biberon.

Vous vous demandez pourquoi, je fais un post d’ultimate MILK (en même temps, j’ai toujours dit que je rêvais d’être une MILK) à ce sujet et bien, c’est parce que j’ai vu que Zelda était tout aussi désemparée que moi il y a quelques mois à ce sujet et que ça m’énerve.

L’allaitement, c’est un grand sujet, l’OMS recommande un allaitement maternel (au sein donc) exclusif jusqu’à 6 mois.
Sauf qu’en vrai, cette recommandation s’applique aussi bien à la France qu’à des pays où l’accès à l’eau potable est très discutable et où le lait maternel est bien plus sûr pour les bébés, vous l’aurez compris. C’est le principe d’une organisation mondiale de faire des règles pour le monde entier et pas que pour un pâté de maison….
Mais en parallèle on nous recommande la diversification entre 4 et 6 mois…
Bref, tout ça, ce ne sont que des recommandations et non des règles gravées dans le marbre.

J’ai tendance à croire que le choix du type d’allaitement est un choix très personnel et que personne n’a à se justifier. Si la maman souhaite (et peut) faire un allaitement au sein, c’est très bien et si la maman souhaite faire un allaitement au biberon, c’est très bien aussi. L’important c’est de se sentir soutenue et aidée dans son choix, l’arrivée d’un bébé est déjà assez difficile les premiers jours pas besoin de rajouter une couche de culpabilisation sur le choix qui a été fait.

Sauf que dans la vraie vie, la culpabilisation commence avant même la naissance avec les cours de préparation.
Quand j’ai annoncé à ma sage femme que je ne souhaitais pas allaiter, le cours sur le retour à la maison s’est concentré sur les soins et pour l’alimentation, il s’est résumé à « puisque vous faites au biberon, ce sera simple, on vous dira quoi faire à la maternité ». Je rappelle que j’avais pris des cours en couple à domicile et donc « sur-mesure ». Pas de jugement, mais pas vraiment d’information non plus donc.

Ensuite la date de ponte approchant, j’ai commencé à m’inquiéter du choix du lait et de ce que je devais acheter comme matériel pour être au point. Aucune information disponible sur les sites de marques car comme l’OMS recommande l’allaitement maternel exclusif, ils n’ont pas le droit de parler de l’alimentation des bébés de moins de 6 mois (il existe une loi qui leur interdit), donc encore une fois tu te démerdes et au passage on te rappelle que tu ne suis pas la recommandation de l’OMS et que tu ne fais pas ce qu’il y a de mieux pour ton bébé. Sur le site de Gallia, on te parle carrément de comment allaiter au sein…

gallia

guigoz

Ensuite arrive le grand jour à la maternité et encore une fois, on ne te donne aucune information, on fait comme si cela était une évidence. Pour ma première nuit (je suis remontée vers 18h de la salle de travail), on m’a posé 3 mini-biberons de lait dans le berceau et on m’a souhaité une bonne nuit.
Du coup, j’ai fait au feeling et j’ai donné le biberon à ma fille quand elle pleurait et j’ai arrêté quand elle le repoussait et j’ai tout bien noté les quantités dans le cahier (c’est mon côté bonne élève).
Je me suis faite engueulée au réveil que j’avais essayé de tuer ma fille (c’était pas vraiment dit comme ça, mais ce que j’ai entendu) en la gavant et qu’il fallait lui donner beaucoup moins. On m’a ensuite expliquer qu’il fallait attendre 3 heures entre chaque biberon et pas plus de 5 heures, première information intéressante qu’on aurait pu me donner dès le début….
Seconde nuit, rebelote, j’avais encore gavée ma fille et c’était donc pas étonnant qu’elle pleure (hein, mauvaise mère, tu veux la tuer, c’est ça, tu persistes !).
J’ai donc décidé de prendre les choses en main avant de tuer mon bébé, j’ai demandé conseil à Ptit Bichon que je ne remercierais jamais assez pour son aide, et avant de rentrer à la maison, je me suis postée dans la nursery avec un papier et un stylo et j’ai dit aux puéricultrices qu’il fallait m’expliquer l’allaitement au biberon parce qu’à part me dire que je faisais mal, on ne me disait pas comment bien faire.
Elles m’ont proposé un schéma avec des quantités précises selon les jours, où il faut attendre 3 heures entre chaque biberon et réveiller bébé si plus de 5 heures. Je trouvais ça un peu strict, mais au moins c’était clair.

On a donc suivi le schéma, sauf qu’il ne convenait pas vraiment à Starsky qui dès le début tétait de grandes quantités et espaçait ses biberons de 6 heures la nuit. Ça donnait donc un bébé grincheux quand on la réveillait et qui ne tétait rien, puis qu’on regardait hurler de faim 2 heures plus tard…

Heureusement, on a rencontré une femme formidable à la PMI qui nous a bien détendu sur le sujet en nous expliquant l’allaitement au biberon à la demande, finalement, il n’y a pas de raison de faire différemment que l’allaitement au sein. Si bébé réclame on lui donne un biberon quitte à augmenter la quantité et si elle dort, on lui fout la paix. De même que si elle finit pas, c’est pas grave c’est qu’elle n’a plus faim. En revanche, on vérifie qu’elle mouille sa couche et on vient la peser tous les deux jours, puis toutes les semaines, puis toutes les deux semaines, puis une fois par mois chez la pédiatre pour suivre la croissance.
A partir du moment où on a fait comme ça, tout s’est bien passé, bébé plus apaisé, parents moins angoissés et une courbe de croissance impeccable.

Tout ça pour dire que j’aurais aimé qu’on me dise dès le début de faire comme je le sentais, c’est à dire à la demande. On fonctionne comme ça depuis qu’on est rentré à la maison, je n’ai aucune idée de la quantité de lait qu’elle boit, ma pédiatre n’aborde pas le sujet et on se concentre su sa courbe de croissance, qui va très bien.

Alors certes, c’est très bien de dire que l’OMS recommande bla bla bla, mais que c’est un peu con de laisser dans le flou en les culpabilisant les parents qui ont décidé d’allaiter au biberon car ça les stresse, ça les fait culpabiliser sans pour autant les faire changer d’avis. Et je me dis que pour les femmes qui souhaitaient allaiter au sein et que qui pour des raisons x ou y ne peuvent pas, c’est vraiment pas sympa.
Surtout que même si le bébé n’est pas au sein, le biberon reste un moment agréable à partager avec son bébé.

Pour résumer ce que j’aurais aimé savoir

  • pour les quantités, c’est à la demande (sauf si avis médical contraire, faut pas faire n’importe quoi non plus, si votre bébé est trop petit ou ne grossit pas bien ou ne mouille pas sa couche ou autre)
  • pour le matériel, il faut un égoutte biberon, une éponge douce et un goupillon pour le nettoyage. Pour les biberons, ne vous faites pas avoir en achetant des petits, ils ne durent vraiment pas longtemps, vous pouvez acheter directement les grands (260 ml) et mettre des tétines premier âge dessus (il y a différentes tailles de tétines avec des débits différents selon l’âge, on peut les acheter séparément des biberons), ça vous reviendra bien moins cher et vous les garderez plus longtemps. Comme au début le bébé prend 6 à 8 biberons par jour, nous en avons acheté 6 car on se laissait parfois un peu débordé et on n’avait pas le temps de les laver et c’est plus agréable d’en avoir d’avance quand bébé réclame.

Concernant le choix des biberon, c’est pas mal de « tester » une marque avec votre bébé et voir s’il accepte bien la tétine avant d’acheter toute la panoplie car les bébés n’aiment pas tous les mêmes. On avait acheté un biberon en verre, rapport aux perturbateurs endocriniens et on s’est rendu compte, que Starsky avait l’air d’avoir mal au ventre ensuite par rapport aux biberons anti-colique en plastique, du coup, nous avons un set de biberons anti-colique en plastiques, mais sans BPA (je crois qu’ils le sont tous maintenant).

On a aussi acheté des boites pour pré-doser la poudre, c’est bien pratique pour les ballade mais aussi pour les nuits… Cela permet de « préparer » les biberons à l’avance avec d’un côté les biberons remplis de la bonne quantité d’eau et de l’autre la poudre déjà dosée, du coup, il ne reste plus qu’à verser la poudre dans le biberon sans rien calculer quand c’est l’heure. Sachant qu’il ne faut mélanger l’eau et la poudre qu’au dernier moment.

  • Et pour la préparation, il faut compter 30ml d’eau pour une dosette de poudre et on est obligé d’augmenter 30ml par 30ml  pour chaque dosette supplémentaire même si bébé ne finit pas son biberon.

Astuce qu’on a mis longtemps à voir, pour les premiers biberons, il est difficile de doser l’eau car la ligne du 30 est planquée (sur les biberons MAM en tous cas) et en fait il y a les quantités dans le bouchon, on verse donc dans le bouchon pour doser, puis dans le biberon, ça vous évitera de vous arracher les yeux ou de faire un biberon de 60 au lieu de 30.

L’homme a étudié toutes les eaux minérales, comparé les PH et les minéraux pour conclure que les 2 marques les plus adaptées était la Montcalm chez Naturalia et la Mont Roucous chez Carrefour, mais on a utilisé de l’Evian une fois et tout s’est bien passé.

Sinon je viens de découvrir ces 2 sites super bien faits, mais je l’avais raté au moment où j’en aurais eu besoin…
http://www.laits.fr/
http://www.mpedia.fr/176-premiers-biberons.html

35 réflexions au sujet de « L’allaitement artificiel »

  1. MadameOurse

    Et tu lui chauffais ses biberons ?
    Tu sais moi j’ai allaité et j’me suis sentie tout autant abandonnée ds la nature à la mater. On nous faisait noter les heures de tetees mais pas d explications. Je pense que ça aurait été important sur le positionnement au sein…
    Ensuite le coup des 6 mois d allaitement ben franchement quand tu sais qu’il faut retourner bosser bien avant ça me semble très difficile à mettre en oeuvre…
    Et finalement j’me retrouve quand même pas mal ds ce que tu dis pour le passage au bib j’étais vraiment perdue. On savait pas faire car pas d infos et le coup des heures entre 2 repas je l’ai appris qu’à ce moment là c’est à dire aux 2 mois de l oursonne… Bon ça l empêche pas d aller bien hein mais on nous fout la pression avec l importance des cours de prépa pour au final escamoter certains sujets….

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    1. La reine de la PMA Auteur de l’article

      On ne chauffe pas les biberons ici, comme elle n’a connu que le lait à température ambiante, c’est plus facile en déplacement, on verra si ça change avec la diversification…
      L’allaitement au sein, ça a pas l’air simple non plus, je trouve ça dingue qu’ils nous cassent les pieds avec le poids des bébés sans nous accompagner plus sur comment bien alimenter notre bébé.

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    2. Ilithyie

      Après la bataille… Ici j’allaite encore avec le travail et je tire mon lait trois fois pour la nounou. Je maintiens les tétées de nuit ( cododo) pour stimuler les récepteurs de prolactine.
      Il faut être très motivée et bien conseillée. C’est compliqué et assez stressant.

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  2. compoteen

    Je suis totalement d’accord avec toi!
    Quand on est passé au bib (après un allaitement sous tension et donc foiré..) notre médecin nous a dit: « relax, bib à la demande et quand bébé dort on le laisse dormir. Quand bébé fini tous ses biberons plusieurs jours d’affilé et qu’il commence à raccourcir le temps entre les bib, on augmente la quantité de lait. En bref, on observe son bébé et on le laisse faire! » Et ça marche très bien pour nous 🙂
    Baby a allongé ses nuits et réduit de 6 à 5 bib et il y a 1 semaine, pareil, on est passé de 5 à 4 bib par jour tout tranquillement, on a rien forcé, notre baby a fait son rythme tout seul 🙂
    Donc merci à notre médecin pour nous avoir rassuré et surtout nous donner confiance 🙂 car à la mater mis à part 2 puer qui étaient adorables mais qu’on a vu que 2 jours bah t’a encore du boulot: non être maman ne coule pas de source!
    Ps: mon chéri a acheté le prépare bib de Tommee tippee (la machine à Nespresso du bébé) j’étais dubitative mais finalement c’est vraiment bien pratique 🙂

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    1. La reine de la PMA Auteur de l’article

      Les bébés trouvent très bien leur rythme tout seul, mais faut le savoir et quand t’es jeune parent, c’est pas évident…
      Elle se transporte facilement la Nespresso du bib ? Tu peux les faire à l’avance ?

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      1. compoteen

        Alors le principe du prépare bib: tu mets ton bib vide, tu sélectionnes la quantité d’eau voulu, tu appuis sur le bouton et ton eau coule a 37 degrés.
        Comme j’ai allaité 3 semaines, on a voulu continuer sur des bib à température du lait maternelle donc pour chéri il fallait ça ( parce que le chauffe bib classique tu sais pas trop la température et comme il est beaucoup plus flippé que moi, c’était THE solution!)
        Sinon pour le transport, je dirais que si tu as un grand coffre pourquoi pas mais nous on fait pas ( déjà avec le berceau pliable, la poussette et ses affaires on a plus que la place d’une petite valise pour nous 2!)

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  3. Mam'Weena

    Comme Madame Ourse, bien qu’aillant mené un allaitement au sein, je me suis franchement pas sentie aidée par l’hôpital lors des cours de préparation à l’accouchement, donc j’avais acheter un petit guide …
    Et pour avoir mener (un peu malgré moi) l’allaitement au sein jusqu’à 6 mois, le temps que mon zouave de FeuFolet accepte le biberon (2 mois quand même, si ça c’est pas du sevrage progressif), ben, franchement, ça a été un soulagement d’arrêter. Bon, pas de problème de temps entre les biberons puisqu’à 6 mois, il était à 4 repas par jour, par contre, hum … les quantités, ça a été le bordel, jusqu’à un mois de décroché de la courbe et il a maintenant des biberons qui dépassent largement les « recommandations » sur avis de médecin.

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    1. La reine de la PMA Auteur de l’article

      Les recommandations ne sont que des recommandations, on était bien au dessus au début, puis en dessous et maintenant on est à peur près dans les clous avec un mois de retard… Chaque bébé a son rythme, l’important c’est de l’écouter 🙂

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  4. Leeloo

    Que ça soit un allaitement au sein ou au bib, j’ai l’impression qu’on est toujours à la merci des « conseils » ou non du personnel médical… Je suis à presque 5 mois et demi d’allaitement, et tout ce que je sais, je suis allée le chercher moi même. Les pédiatres et puer de la pmi ne se basent que sur la courbe de poids et s’il y a ralentissement (ce qui a été notre cas), on te culpabilise tout autant. Dans le cas de l’allaitement au LM, j’ai heureusement trouvé des gens pour m’aider… mais je me suis retrouvé souvent démuni face à ma pédiatre qui m’a demandé d’ajouter des farines pour bb rgo pour « engraisser » ma puce… Bref rien n’est vraiment fait pour nous aider, les jeunes parents et que ça soit allaitement au bib ou au sein, on galère. De mon côté, je me prend plus la tête, allaitement à la demande, on a commencé la diversification et pour l’instant ça roule ! Elle est en pleine forme, développement au top, et je reste droite dans mes bottes !

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  5. Zelda

    Olala merci La Reine de ton article. On est vraiment pas aidé concernant l’alimentation de nos petits bouts..sans compter les 10000 laits différents qui existent…donc on fait comme on sent maintenant…on a changé de lait seule car personne nous aidait à choisir, on lui a augmenté les doses contre l’avis du pédiatre, mais grâce à ça j’ai l’impression qu’elle commence à écarter un peu ses bib. (Un peu😄). Par contre si on suit les recommandations oui elle mange trop…et prends aussi trop de poids. Mais que faire ? Elle a faim je vais pas la laisser mourir de faim qd même. Bref à chaque fois qu’on voit qqun on a un avis différent (le sien) et on ns fait culpabiliser. (Et j’en ai ras le c**).

    Sinon bib anti colique ici aussi, et on respecte l’intervalle minimum recommandé entre chaque bib pr sa digestion. Après si elle a faim (qu’on arrive de mieux en mieux à déterminer) ben on lui donne..

    Merci encore 💝

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  6. lamisskangourou

    Chouette billet, ça me rappelle avoir écrit un peu le même en mode allaitement maternel 🙂
    Se faire confiance et suivre son instinct tout en sa faisant aider un peu par des personnes bienveillantes.. Même combat. Quant a la culpabilisation, au moindre truc, l’allaitement est montré du doigt, les toubibs n’y connaissent rien (je sais de quoi je parle)
    Donc en fait, pas mal de points communs 🙂

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  7. la cerise sur le muffin

    merci ! j’en suis à 40 sa et même si pour mon premier il y a deux ans je l’ai allaité (au sein donc) je me pose la question pour ce second bb… rapport à la gestion de deux enfants en bas âge avec forcément un rythme différent … et du coup oui le lait maternisé me parait plus « simple »… sauf que comme je viens de tilter, oui j’ai et je donne toujours des bibs à mon fils…mais j’en ai jamais donné à un bb de quelques heures…alors certes le ratio eau:poudre, le choix de l’eau, chauffé ou non, j’ai mon avis et expérience sur le sujet, en revanche, c’est clair que je ne m’étais pas posé la question du timing à la maternité, des quantités que doit prendre un nouveau né…. alors un grand merci… je ferai donc à la demande, comme pour le sein et on verra en fonction de la prise de bébé….
    En revanche, je te rassure, pour avoir donné le sein, on s’est retrouvé à la mater livrés, mon mari et moi à nous mêmes… heureusement que mon mari est prévenant et débrouillard, c’est lui qui m’aidait à positionner notre enfant… et on notait tout scrupuleusement oui…. le personnel part du principe que l’on a la grossesse pour choisir notre méthode pour nourrir bébé et que d’emblée on sait faire, quelque soit la méthode choisie…. un peu désastreux ce concept… quant à l’oms, je suis d’accord avec toi, ils ont le don de nous faire culpabiliser (pour ces mêmes raisons que tu ne verras jamais une pub à la tv pour du lait 1er âge….). Bref MERCI !

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  8. damelapin

    Moi je chauffais ses bib, on a noté qu’il régurgitait bcp moins. On avait de l’evian puis comme on nous a dit que ça constipait on est passé au volvic. Les biberons avent ont tout de suite ete bien acceptés, on en avait acheté au cas où l’allaitement foirait…
    Pour le lait je n’avais of course fait aucune recherche, j’ai donc acheté le même lait que la mater.
    Par contre je les félicite pas chez toi! J’ai eu la chance qu’on m’explique les quantités, le 3h mini, 5h maxi (il fallait tjrs réveiller mini-lapinou).
    En tout cas très bon post 😘

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  9. Bibiche

    MERCI!!!!! Je pensais qu’en accouchant dans le privé j’allais être super bien encadrée et tout et tout… Que dalle!!! Google est mon ami et aujourd’hui c’est pédiatre pour pouvoir poser toutes mes questions qui me trottent dans la tête. Le biberon, un vrai casse-tête. Parfois L. boit 120ml et d’autres fois 40… Je suis paumée

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  10. Alisore

    Merci pour cet article qui rassurera beaucoup de mamans! 👍 justement avant de lire la fin je me disais « mais pourquoi ne peut-on pas allaiter à la demande au biberon ?🙄🙄 »

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  11. Plume

    Alors… J’avais commencé à allaiter mon fils pensant passer à une alimentation mixte plus tard mais l’allaitement « naturel » n’a rien de naturel et de simple, bref, 10 jours plus tard, après une grosse perte de poids, nous sommes passés au biberon et là, d’un coup, on s’est retrouvé démunis. Aucun conseil de la part de la PMI sur les quantités, sur la marque de lait ou de marque de biberon. Bref, on a pris les marques galia et MAM conseillés par la préparatrice de la pharmacie. On a chauffé au micro-onde (et on a continué à le faire car le chauffe biberon c’est bien trop long) et on a décidé de stériliser les biberons. La grosse galère pour les premiers biberons, ne sachant pas si le môme allait accepter cette nouveauté et finalement il n’attendait que ça !

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  12. marivalou

    Article très complet que je plussoie â mort. Juste un truc : au niveau des eaux, on nous a conseillé de varier car chacune apporte des choses différentes. Notre préférée est la Mont Roucous mais toutes les autres vont bien aussi 🙂

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  13. miliette

    Je plussoie les autres mères qui nourrissent leurs gosses (fais pas genre tu sais pas que quand on te demande « vous allez nourrir votre enfant ? » c’est qu’on parle du sein) : on nous laisse crever aussi. Ben oui, puisque « c’est tellement naturel de donner le sein ! »

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  14. Kaymet

    Clairement, faire confiance à son môme (et à soi), c’est ce qu’il y a de mieux à faire dans tous les cas – mais c’est super dur au début, on a tellement peur de faire un truc de travers, et on a l’impression que les gens du milieu médical savent mieux (alors que franchement, c’est loin d’être toujours le cas…).
    De mon côté j’avais prévu de passer le moins de temps possible à la mater (on est sorti quand la petite avait 1,5 jours), même si les SF y étaient très sympa, parce que je voulais qu’on puisse avoir notre propre rythme – et je n’ai pas regretté; la seule nuit qu’on y a passé, on m’a fait réveiller bébé pour lui donner à manger alors qu’elle ne demandait rien et qu’elle n’avait pas faim, c’était du grand n’importe quoi. Et par la suite on (la SF qui venait à la maison) m’a culpabilisée à mort côté allaitement parce que soi-disant la petiote prenait pas assez; gros stress alors qu’au final tout allait on ne peut mieux… bref, on n’est jamais mieux conseillée que par soi-même!
    Et au vu de ton article, côté manque de conseils pertinents, allaitement ou biberons, même combat!

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    1. compoteen

      Je suis vraiment d’accord sur la culpabilité et le stress qu’on te met dessus si bébé ne prend pas le poids voulu… Je suis sûre que si on m’avait un peu plus laisser faire sans me mettre une pression de fou avec ça, mon allaitement ce serai mieux passé..
      je ne comprend pas pourquoi il n’y a pas plus d’information sur l’allaitement (sein ou bib) AVANT la naissance…

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